Gigot d’agneau à l’ail et au romarin

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Aujourd’hui, je vous propose une recette épatante de gigot d’agneau à l’ail et au romarin. D’une simplicité enfantine, elle est autant “épate belle-mère” à regarder que délicieuse à déguster. La viande est “cloutée” de brins de romarin et de morceaux d’ail.

J’ai été invitée à en commander sur le tout nouveau site en ligne d’Hugo Desnoyer. Vous connaissez peut-être de réputation ce boucher si attaché à la qualité de la viande qu’il produit.

A propos

Bienvenue sur Turbigo-Gourmandises ! Je m’appelle Sophie Seïté et j’ai créé ce blog de cuisine en 2011 pour partager mes recettes avec mes amis, ma famille et plus si affinités ! Au fil du temps, il est devenu le cœur de mon activité et s’est enrichi de plus de 2000 propositions gourmandes, dont les ingrédients privilégient la saisonnalité et la provenance locale. Je prends beaucoup de plaisir à mitonner des petits plats et autres desserts puis à les publier dans cet espace depuis ma Bretagne natale. Bonne découverte…

Gigot d'agneau à l'ail et au romarin

Il a ainsi élaboré une charte de production très exigeante, qui définit précisément chaque étape depuis la collaboration avec les éleveurs, l’alimentation animale, la sélection des bêtes, l’affinage et la découpe de la viande, puis la préparation, l’emballage et la livraison.

Le bétail est choisi avec soin. Il vit dehors pendant toute la belle saison et dans des étables vastes et spacieuses durant la saison froide. Le critère de propreté est très important car il joue un rôle important dans la prévention des maladies.

gigot d'agneau ail et romarin

Pour Hugo Desnoyer, la qualité de la nourriture des bêtes est essentielle. Ils paissent sur des pâturages naturels l’été et des fourrages cultivés sans engrais chimiques l’hiver.

Certains aliments tels que le tourteau de soja, le maïs d’ensilage, tous les aliments OGM ou l’huile de palme sont strictement interdits. Les animaux sont transportés par l’éleveur à l’abattoir, afin de limiter le stress.

La viande est ensuite affinée : c’est lors de cette étape également appelée maturation que des enzymes grignotent les nerfs (aponévroses) qui entourent chaque grain de viande.

Gigot d'agneau à l'ail et au romarin au four

C’est grâce à cela que la viande devient tendre, juteuse et infiniment plus goûteuse que lorsqu’elle est fraiche. Le gras intramusculaire se diffuse mieux, la chair est dense et parfumée. Réellement exceptionnelle…

Vous retrouverez ci-dessous d’autres informations concernant le site marchand d’Hugo Desnoyer.

Place à la recette, une merveille de tendreté et de gourmandise : la viande était fondante, pas grasse et très savoureuse. Un vrai délice !

Gigot d’agneau à l’ail et au romarin :

gigot d'agneau

Gigot d’agneau à l’ail et au romarin {Hugo Desnoyer}

Une recette d gigot d’agneau à l’ail et au romarin réalisée avec la viande du boucher Hugo Desnoyer.
5 de 1 note
TEMPS DE PRÉPARATION20 minutes
TEMPS DE CUISSON1 heure 20 minutes
TEMPS TOTAL1 heure 40 minutes
TYPE DE PLAT Plat principal
CUISINE de Pâques
Portions 6 personnes

Ingrédients

  • 1,8 kg de gigot d’agneau
  • 3 brins de romarin coupés tous les 3 cm
  • 4 gousses d’ail émincées
  • 1 tête d’ail
  • sel
  • poivre du moulin

Instructions

  • Saupoudrez généreusement le gigot de sel fin et laissez-le reposer au réfrigérateur 20 minutes, sans le couvrir.
  • Préchauffez votre four à 220°C.
  • Débarrassez la viande du sel en l’essuyant avec du papier absorbant.
  • A l’aide d’un petit couteau bien aiguisé, entaillez la viande à intervalles réguliers et insérez les brins de romarin et les lamelles d’ail dans les incisions.
  • Salez et poivrez légèrement le gigot puis posez-le sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé.
  • Enfournez pour 20 minutes.
  • Déposez les gousses d’ail tout autour de la viande.
  • Réduisez alors la température à 180°C et prolongez la cuisson d’une heure.
Vous avez essayé cette recette ?Laissez-moi un commentaire ou publiez-la sur instagram et mentionnez @sophieturbigo et #turbigogourmandises !
Gigot d'agneau à l'ail et au romarin Hugo Desnoyers

Si vous n’habitez pas Paris, vous pouvez dorénavant commander en ligne les viandes proposées par Hugo Desnoyer.

Les produits ont été rigoureusement sélectionnés puis affinée de manière à exalter des textures et des parfums particuliers. Ainsi pour une même pièce de boeuf, trois appellations seront proposées à la dégustation : délicat, rond ou corsé.

site marchand Hugo Desnoyer
le boucher Hugo Desnoyer lance sa boutique en ligne

Vous pourrez retrouver dans chaque onglet et pour tous les types de viande des conseils sur les morceaux à choisir et les modes de cuisson. Les viandes sont conditionnées au poids, en vous indiquant pour quel nombre de convives elles conviennent.

Les envois se font dans des colis fraicheur express et la chaine du froid est garantie pendant 48 h grâce à un pack de gel liquide et un emballage isotherme. Les dates de péremption exactes des viandes sont inscrites sur les sachets fraicheur. De manière générale, les viandes peuvent être conservées entre 8 et 10 jours.

Les livraisons se font :
– à Paris uniquement, 7 jours/7
– à Lyon, du mardi au samedi
– dans le reste de la France métropolitaine, du mardi au vendredi

Les adresses d’ Hugo Desnoyer à Paris :
Boucherie Paris XIV
45 rue boulard 75014 Paris

Boucherie & table d’hôtes, Paris XVI
28 rue du docteur blanche – 75016 Paris

9 réflexions au sujet de “Gigot d’agneau à l’ail et au romarin”

  1. Ce n’est pas qu’un “épate belle-mère”, ça marche aussi pour un beau-frère ;-).

    Et le goût du romarin doit être plus présent qu’en usage externe seulement. Très beau.

  2. Très jolie recette avec ces brins de romarin piqués dans le gigot ! L’an passé, je m’étais lancé dans une recette similaire et nous nous étions vraiment régalés…

  3. Je pensais que saler et entailler un gigot était une hérésie car le jus de la viande s’écoule et le goût avec…
    Que d’injonction contradictoires dans la cuisine… Il me faut essayer les deux formules donc….

  4. Effectivement, que d’écoles en cuisine ! J’ai discuté la semaine dernière avec un producteur d’agneau qui m’expliquait qu’on ne doit pas piquer la viande. Et pourtant cette recette était excellente, tout comme celle du gigot de sept heures. A tester, donc 😉

  5. Qu’il est beau, le gigot ! Dame Sophie, Sieur Hugo, merci. Je me permets de poursuivre dans le droit fil de la discussion amorcée le 30 mars dernier : deux heures au four pour une pièce d’1,8 kg ? Que peut espérer un viandard qui apprécie, à coeur, le rouge sombre de l’à peine cuit ? Doit-il changer de goût ou de recette ? Suis-je seulement, une fois encore, ” victime ” d’un cliché tenace ?

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Evaluation de la recette